J’aimerai avoir les réponses à tous les « pourquoi » qui circulent dans ma tête depuis plusieurs mois. Je crois d’ailleurs que si je les avais je ne pourrai pas y croire. Je n’ai trouvé que cette explication, pour que tellement de questions restent sans réponses.

Pourquoi nous confine-t-on encore alors qu’on a mis en lumière que le premier n’avait pas été concluant ? Notre gouvernement aime reproduire des erreurs et nous utiliser comme cobayes de ses expériences en nous culpabilisant de nous être mal confinés et d’avoir propagé le virus?

Pourquoi oblige-t-on des enfants à partir de six ans à porter des masques alors qu’on nous a dit qu’ils n’étaient pas porteurs, ni vecteurs de ce virus et que les médecins nous présentent tous les effets indésirables que le port de ce masque aurait sur le long terme ?

Pourquoi continue-t-on de fermer des lits d’hôpital s’il y a de plus en plus de personnes malades et de plus en plus de besoins ?

Pourquoi interdit-on un médicament qui a fait ses preuves ?

Pourquoi indique-t-on dans les causes de décès « covid »quand cette personne n’a jamais été diagnostiquée porteuse ?

Pourquoi nous prive-t-on de nos libertés, pour nous rendre plus dociles à tout ?

Pourquoi les informations vont dans un sens puis dans un autre ? Pour nous retourner le cerveau et nous rendre incapables de penser par nous même ?

La colère monte, je ne veux pas de cette colère car elle va finir par nous opposer, nous séparer et aller à l’encontre de ce que je souhaite vous partager et éveiller chez vous.

Ce qui me semble important c’est d’ouvrir des espaces de prise de conscience, d’ouverture d’esprit, de questionnements afin de sortir de la peur et que cette expérience nous permette de créer un quotidien dans lequel nous sommes libres d’ETRE.

Ce qui nous divise aujourd’hui c’est la peur et la culpabilité que notre président fait resurgir en nous en manipulant avec finesse les mots et les chiffres. D’ailleurs il l’écrase sur nous comme un gros sac à dos qui bientôt nous empêchera de respirer et faire le moindre pas en avant.

La culpabilité de celui qui refuse de porter le masque parce qu’il ne veut plus de cette mascarade et qu’on fera passer pour celui qui transmet le virus. La peur de tomber malade, de mourir, car si nous écoutons les chiffres énoncés, il ne restera bientôt, plus beaucoup de français pour peupler la France.

Dans aucun de mes articles je ne souhaite créer de séparations et de tensions, au contraire mon souhait a toujours été de réunir et d’unir chacun à l’autre car j’ai toujours cru au dicton « l’union fait la force » et détesté « diviser pour mieux régner ». Observez bien ce que notre gouvernement réalise à merveille, nous séparer, nous monter les uns contre les autres. Cette énergie je la rejette, elle est stérile pour moi.

Je n’ai pas les réponses à toutes ces questions, peut-être juste quelques pistes mais pour moi ce qui est important c’est de s’interroger sur les incohérences, les injonctions contradictoires qui circulent depuis des mois, toutes les interdictions qui sont énoncées dans un pays dont la devise est « liberté, égalité, fraternité ».

Je souhaite que ceux qui ont peur aient le courage de le dire et que des solutions puissent leur être proposées pour les accompagner et les aider à avoir moins peur, que ceux qui souhaitent se déplacer puissent le faire librement sans cocher une case sur une attestation, que ceux qui ont des mots à partager pour nous aider à trouver des réponses à nos questions puissent le faire sans peur de la sanction, que ceux qui souhaitent vivre puisse le faire, que chacun dispose d’un espace suffisant pour vivre sa liberté.

Est-ce celui-là le pays de la révolution française ? Un pays dans lequel des vidéos sont censurées parce qu’on y dénonce des vérités dérangeantes, des personnes sont mises au silence parce que ce qu’elles ont à partager pourrait créer des émeutes.

Je ne souhaite pas la révolution ni la violence, je souhaite que chacun puisse dans le chaos extérieur que nous vivons, trouver un espace sécurisant, un espace de paix intérieure pour créer un avenir dans lequel chacun à une place, SA place et se lève le matin avec l’envie de vivre.

Certains me diraient que je vis dans le monde des bisounours, oui peut-être et j’ai envie de croire que ce que je nourris profondément en moi peut prendre forme dans la matière parce que je l’arrose chaque jour de ma foi et ma joie.